ad initium

SYMM. rel., 3, 10

1345 Coeli mysterium : ut ait contra symmachum ambrosius: doceat me deus ipse qui condidit: non homo qui seipsum ignorauit. Cui magis de deo quam deo credam? Vno: inquit Symmachus: itinere non potest perueniri ad tam grande secretum. Sed impium retundit pius. Quod uos ignoratis : id nos dei uoce cognouimus et cetera. "Le mystère du ciel", comme le dit Ambroise réfutant Symmaque, "que ce soit Dieu lui-même qui m’a créé qui me l’enseigne et non un homme qui s’ignore lui-même. S’agissant de Dieu à qui ferais-je plus confiance qu’à Dieu ?". "Ce n’est pas", dit Symmaque, "par un seul chemin que l’on peut parvenir à un si grand secret". Mais cet impie est réfuté par le pieux évêque : "ce que vous ignorez, nous par la voix de Dieu nous le connaissons" etc.

1345 Coeli mysterium : ut ait contra symmachum ambrosius: doceat me deus ipse qui condidit: non homo qui seipsum ignorauit. Cui magis de deo quam deo credam? Vno: inquit Symmachus: itinere non potest perueniri ad tam grande secretum. Sed impium retundit pius. Quod uos ignoratis : id nos dei uoce cognouimus et cetera. "Le mystère du ciel", comme le dit Ambroise réfutant Symmaque, "que ce soit Dieu lui-même qui m’a créé qui me l’enseigne et non un homme qui s’ignore lui-même. S’agissant de Dieu à qui ferais-je plus confiance qu’à Dieu ?". "Ce n’est pas", dit Symmaque, "par un seul chemin que l’on peut parvenir à un si grand secret". Mais cet impie est réfuté par le pieux évêque : "ce que vous ignorez, nous par la voix de Dieu nous le connaissons" etc.